Sur la table de la cuisine, la mère donne naissance à six enfants colorés tandis que le père se félicite de la beauté de ces derniers. Le septième, celui qu’on appelle « le Petit Poucet » est tout gris, tout riquiqui ; il ne parle pas, mais entend tout. Quand la famine vient cogner à la porte de la cuisine, la mère et le père s’y prennent à deux fois pour perdre leurs enfants dans les bois. Poucet guide alors ses frères vers une petite maison d’or et d’argent qui brille au loin. C’est la maison de l’ogre mangeur d’enfants…
Sur la table, un monde merveilleux se construit et se déconstruit autour des deux parents qui deviennent deux ogres bouffons. Les pantins de bois sont déplacés comme les pions d’un grand jeu où l’on se raconterait nos peurs les plus profondes. Le Petit Poucet guide les enfants spectateurs dans le célèbre conte de Perrault et leur montre comment, sous la nuit étoilée, un enfant, si « différent » soit-il, peut ramener la couleur dans la maison de terre.
“Le Petit Poucet fait partie des grands contes qui marquent notre enfance, d’abord par sa violence, par la peur attractive qui s’en dégage, puis par l’identification au petit héros malingre, que nous avons tous ressentie. Je veux parler avant tout de la beauté humble du différent qui paraît bien pâle face aux apparats des autres, mais qui sera leur salut à tous.” Simon Falguières, metteur en scène
“Il existe beaucoup de versions du Petit Poucet mais force est de constater que celle-ci est l’une des plus originales et des plus abouties.” Le mot de l’Archipel
Sur la table, un monde merveilleux se construit et se déconstruit autour des deux parents qui deviennent deux ogres bouffons. Les pantins de bois sont déplacés comme les pions d’un grand jeu où l’on se raconterait nos peurs les plus profondes. Le Petit Poucet guide les enfants spectateurs dans le célèbre conte de Perrault et leur montre comment, sous la nuit étoilée, un enfant, si « différent » soit-il, peut ramener la couleur dans la maison de terre.
“Le Petit Poucet fait partie des grands contes qui marquent notre enfance, d’abord par sa violence, par la peur attractive qui s’en dégage, puis par l’identification au petit héros malingre, que nous avons tous ressentie. Je veux parler avant tout de la beauté humble du différent qui paraît bien pâle face aux apparats des autres, mais qui sera leur salut à tous.” Simon Falguières, metteur en scène
“Il existe beaucoup de versions du Petit Poucet mais force est de constater que celle-ci est l’une des plus originales et des plus abouties.” Le mot de l’Archipel
Distribution
Texte, scénographie et mise en scène de Simon Falguières
Comédiens-marionnettistes : Louis de Villers et Juliette Didtsch
Création lumière : Léandre Gans
Reprise : Arnault Philippe
Création son : Cédric Carboni
Crédits
Coproduction : le Théâtre du Château Scène conventionnée texte et voix d’Eu, Le Tangram, Scène Nationale Evreux-Louviers.
Financements : Région Normandie, DRAC Normandie, Château Ephémère - Fabrique des Arts Numériques.
Avec le soutien de La Wash!, La Factorie - maison de la poésie, Le Jardin d’Alice, La salle de spectacles de Conches en Ouche, L’étincelle - La Chapelle Saint Louis, l’Odia Normandie (Office de Diffusion et d’information Artistique de Normandie).
mardi 24 mars - 10H00
CP/CE1/CE2 Marionnette Théâtre Théâtre d'objets Théâtre d'ombres
SCOLAIRE
Lieu : Archipel