Cœur de moqueur

Frédéric Fromet bascule dans la prostitution le 1^er janvier 2009. En effet, c’est à cette date qu’il est embauché au Caveau de la République où il fera ses armes jusqu’en avril 2014 en croquant chaque semaine l’actualité sous forme de chansons satiriques.

Sa ligne de conduite : ne rien prendre au sérieux à commencer par soi-même. Sa tronche de gentil a, sans nul, doute facilité l’expression de son esprit foncièrement frondeur, sans se départir d’une humanité certaine.

Depuis 2014, il sévit dans l’émission « Par Jupiter » de France Inter, sous la houlette de Charline Wanhoenacker et Alex Wizorek, à qui il voue une reconnaissance sans borne (mention contractuelle). Jouissant d’une remarquable liberté de parole, il s’amuse chaque vendredi à brocarder l’actualité tous azimuts. On le retrouve également, de temps en temps, dans la matinale très écoutée de Nicolas Demorand pour chansonner et se moquer des invité.e.s.

Si Frédéric Fromet s’éclate à l’antenne, il sait aussi prendre son pied sur scène ! Pour son nouveau spectacle « Cœur de moqueur », il est accompagné de deux musiciens, et définit cette création comme un ovni potache où il se défend d’être : « Moqueur envers les chanteurs, les frimeurs, les rappeurs, les pleurnicheurs, les rockeurs, les magouilleurs, les teufeurs, les pollueurs, les chuchoteurs, les aboyeurs, les serial killers, les enfants de chœur, les rimes en « eur », et ta sœur ! Ce spectacle est réservé à qui apprécie la moquerie dans la joie et la bonne humeur. Parce que la moquerie, c’est la vie ! »

 

« Installez-vous et laissez-vous bercer par la plume gentiment vacharde de Frédéric Fromet. » Le Parisien

« Véritable maestro du bon mot musical (…) Doué d’une plume inspirée, incisive et désopilante, il réussit la performance d’écrire et composer une chanson satirique dans laquelle il décortique et se rit de l’actualité. Il croque avec humour et vitalité les sujets qui l’interpellent, dans une valse de jeux de mots en rafale. » Ouest France

« Délicieusement grinçant. On aime beaucoup. » Télérama

« L’un des esprits les plus caustiques de la chanson française. Rien ni personne n’échappe à son écriture aussi peaufinée que décapante où abonde le second degré. » Le Monde