Suite à l’appel national des syndicats du spectacle vivant pour la défense de la Culture, l’Archipel organisera (à l’image de nombreuses salles de spectacle) un rassemblement devant le Théâtre : Samedi 20 mars à 10h – place Maréchal Foch – Granville.
Il s’agit de rappeler symboliquement que nous attendons depuis plus d’un an la réouverture de nos lieux de culture.
Que vous soyez artistes, spectateurs, élu.e.s, bénévoles ou simples professionnels/elles, c’est avec plaisir que nous vous retrouverons ce samedi. La parole sera libre et vous pourrez, si vous le souhaitez, vous exprimer par des notes ou des mots pour rappeler l’importance du spectacle vivant.
N’hésitez pas à faire circuler cette information au plus grand nombre afin que cette démarche à la fois locale et nationale puisse avoir toutes les répercussions qu’elle mérite.
En souhaitant vivement vous retrouver samedi prochain !
Objet de la manifestation :
Le gouvernement ne reconnaît pas le secteur culturel comme une activité « indispensable » à la nation. Les différentes mesures mises en place pour faire face à la crise (confinement, couvre-feu, etc.) se sont donc traduites par la fermeture pure et simple des lieux de spectacle.
Pour tenter de répondre aux interpellations nombreuses des professionnels, le gouvernement nous a invité à continuer à travailler lors de répétitions, d’enregistrements, de résidences de recherche. En l’absence de billetterie à moyen voire long terme, cette invitation ne peut répondre aux problématiques du secteur.
Nous demandons un calendrier prévisionnel de réouverture et des mesures de soutien pour l’ensemble des opérateurs.
Au-delà de cette revendication, nous demandons que des mesures soient prises pour les organismes sociaux du secteur lourdement impactés par une année d’interdictions.
Certes les intermittents ont bénéficié de la prolongation de leurs droits à l’assurance chômage mais cette mesure est devenue notoirement insuffisante au regard de la situation qui se prolonge sans aucune visibilité.
Insuffisante car en l’absence de travail, nombreux sont celles et ceux qui ne pourront ouvrir de droits à l’assurance chômage en août prochain.
Insuffisante également car à mesure où le chômage de masse frappe, c’est l’ensemble des droits sociaux de ces travailleurs qui s’effondrent.
Nous demandons le refinancement de nos droits sociaux par une compensation de l’Etat et cette compensation ne peut être pris sur le budget de la Culture.
Nous demandons des mesures urgentes.
Il s’agit de rappeler symboliquement que nous attendons depuis plus d’un an la réouverture de nos lieux de culture.
Que vous soyez artistes, spectateurs, élu.e.s, bénévoles ou simples professionnels/elles, c’est avec plaisir que nous vous retrouverons ce samedi. La parole sera libre et vous pourrez, si vous le souhaitez, vous exprimer par des notes ou des mots pour rappeler l’importance du spectacle vivant.
N’hésitez pas à faire circuler cette information au plus grand nombre afin que cette démarche à la fois locale et nationale puisse avoir toutes les répercussions qu’elle mérite.
En souhaitant vivement vous retrouver samedi prochain !
Objet de la manifestation :
Le gouvernement ne reconnaît pas le secteur culturel comme une activité « indispensable » à la nation. Les différentes mesures mises en place pour faire face à la crise (confinement, couvre-feu, etc.) se sont donc traduites par la fermeture pure et simple des lieux de spectacle.
Pour tenter de répondre aux interpellations nombreuses des professionnels, le gouvernement nous a invité à continuer à travailler lors de répétitions, d’enregistrements, de résidences de recherche. En l’absence de billetterie à moyen voire long terme, cette invitation ne peut répondre aux problématiques du secteur.
Nous demandons un calendrier prévisionnel de réouverture et des mesures de soutien pour l’ensemble des opérateurs.
Au-delà de cette revendication, nous demandons que des mesures soient prises pour les organismes sociaux du secteur lourdement impactés par une année d’interdictions.
Certes les intermittents ont bénéficié de la prolongation de leurs droits à l’assurance chômage mais cette mesure est devenue notoirement insuffisante au regard de la situation qui se prolonge sans aucune visibilité.
Insuffisante car en l’absence de travail, nombreux sont celles et ceux qui ne pourront ouvrir de droits à l’assurance chômage en août prochain.
Insuffisante également car à mesure où le chômage de masse frappe, c’est l’ensemble des droits sociaux de ces travailleurs qui s’effondrent.
Nous demandons le refinancement de nos droits sociaux par une compensation de l’Etat et cette compensation ne peut être pris sur le budget de la Culture.
Nous demandons des mesures urgentes.
samedi 20 mars - 10H00