Dans Zones d’ombres, tel un Ulysse des temps modernes, l’acteur porte la parole d’un individu et de ses histoires. Cet individu est né dans un village rural, très rural, et, un jour, forcé par l’ennui, il décide de quitter son père, sa mère, sa campagne natale et profonde. Il part à la conquête d’une « Méga Ville », convaincu qu’il vivra ainsi des jours enfin épanouissants.
Dans les tumultes de la « Méga Ville », l’individu n’a pas de but précis si ce n’est celui de survivre. Il court de petits boulots en petits boulots, accepte d’être « ubérisé » tout en étant hyper usé. N’ayant pas les fonds nécessaires pour louer un appartement, ni même un studio, l’individu se loge comme il peut, système D, d’abord chez l’ami d’un cousin, puis chez Nestor, un collègue « Uber », qui habite un studio exigu dans l’arrière-boutique de sa tante Hélène qui vend des pelotes de laine. Même s’il trouve un nouveau travail dans une entreprise où il vend du vent sous la pression d’un « Tchef » impitoyable, la condition du logement est problématique.
Une nuit, malgré tous ses efforts de tolérance envers les agissements et les lubies de son logeur Nestor, l’individu est expulsé de la boutique de laine et se retrouve à la rue, sans solution d’hébergement.
Dehors, il fait nuit, il pleut, il fait froid, il n’a plus suffisamment d’argent pour se payer une nuit d’hôtel, il n’a nulle part où aller. Une seule adresse peut le sauver, un centre d’urgence pour SDF, le Centre des Sans Logis. On lui loue un lit métallique dans un dortoir où rôdent des égarés du monde, et il plonge en apnée dans les bas-fonds de notre époque où le mot « survivre » n’est pas vain.
Le temps passe, il ne s’adapte pas à l’univers urbain, il perd son travail, s’enfonce quelques pieds sous terre dans une station de métro, jusqu’à ce jour où, par hasard, le spectre de sa mère apparaît entre deux wagons… Il décide alors de tout abandonner et de revenir dans le village de son enfance pour s’y installer définitivement, aspirer à une vie plus paisible.
Un spectacle original qui se situe entre un concert, une performance poétique et musicale qui s’adresse directement aux spectateurs, façon ‘’spoken word’’, dans la lignée de certains artistes d’outre- Manche, comme Kae Tempest ou les Sleaford Mods.
Dans les tumultes de la « Méga Ville », l’individu n’a pas de but précis si ce n’est celui de survivre. Il court de petits boulots en petits boulots, accepte d’être « ubérisé » tout en étant hyper usé. N’ayant pas les fonds nécessaires pour louer un appartement, ni même un studio, l’individu se loge comme il peut, système D, d’abord chez l’ami d’un cousin, puis chez Nestor, un collègue « Uber », qui habite un studio exigu dans l’arrière-boutique de sa tante Hélène qui vend des pelotes de laine. Même s’il trouve un nouveau travail dans une entreprise où il vend du vent sous la pression d’un « Tchef » impitoyable, la condition du logement est problématique.
Une nuit, malgré tous ses efforts de tolérance envers les agissements et les lubies de son logeur Nestor, l’individu est expulsé de la boutique de laine et se retrouve à la rue, sans solution d’hébergement.
Dehors, il fait nuit, il pleut, il fait froid, il n’a plus suffisamment d’argent pour se payer une nuit d’hôtel, il n’a nulle part où aller. Une seule adresse peut le sauver, un centre d’urgence pour SDF, le Centre des Sans Logis. On lui loue un lit métallique dans un dortoir où rôdent des égarés du monde, et il plonge en apnée dans les bas-fonds de notre époque où le mot « survivre » n’est pas vain.
Le temps passe, il ne s’adapte pas à l’univers urbain, il perd son travail, s’enfonce quelques pieds sous terre dans une station de métro, jusqu’à ce jour où, par hasard, le spectre de sa mère apparaît entre deux wagons… Il décide alors de tout abandonner et de revenir dans le village de son enfance pour s’y installer définitivement, aspirer à une vie plus paisible.
Un spectacle original qui se situe entre un concert, une performance poétique et musicale qui s’adresse directement aux spectateurs, façon ‘’spoken word’’, dans la lignée de certains artistes d’outre- Manche, comme Kae Tempest ou les Sleaford Mods.
Distribution
Texte/récit/chant/musique : Christophe Tostain
Scénographie/vidéo/chant/lumières : Lotus Choffel
Basse/machines/effets /chant : Alexandre Simoni
Regard extérieur/direction d’acteur : Fabrice Michel
Régie son : Christophe Ménenteau
Crédits
Soutiens : Théâtre Artéphile à Avignon, Théâtre des Miroirs, Ville de Cormelles le Royal, Médiathèque les 7 Lieux (Bayeux), l’Autre Lieu. Coproduction : Le Trident Scène Nationale de Cherbourg, l’URFR de Poitou Charentes. Subventions : Aide à la relance de la DRAC de Normandie, Département du Calvados.
© Etienne Pignol
Tarif B
HORS abonnement / affiliation *
Catégorie | Plein | Réduit | Jeune |
---|---|---|---|
B | 18 € | 16 € | 12 € |
* Le tarif HORS abonnement / affiliation s'applique à toute personne non titulaire d'un abonnement ou affiliation.
Abonnés / affiliés
Catégorie | Plein | Réduit | Jeune |
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B | 14 € | 12 € | 8 € |
vendredi 3 novembre - 20H30
Concert poétique Dès 14 ans Placement libre
Lieu : Archipel